quad

 

image002        *: “share our passion” = “partagez notre passion”.

 

  Pour commencer, je vais vous donner les raisons qui m’ont amené à quitter le side-car, ainsi que le trike pour envisager d’acquérir un quad et plus particulièrement un modèle précis.
  Après pas loin d’un million de kilomètres, en moto d’abord, puis en side-car et en trike ensuite, dont précisément 360.000 en B.F.G (moteur CITROËN GS 1300) attelée à un side-car POIRAUD modifié... après quelques années sans rouler suite un très grave accident lors d’une étape du rallye “Tour de France side-car”, le 13 Septembre 1987, rallye au cours duquel je voulais promouvoir le journal mensuel que je venais de créer (“SIDKAR”) et narrer le déroulement du rallye dans ses pages, accident à la suite duquel femme (1) et enfants (3) ont déserté le navire... après avoir continué à rouler tout seul pendant plus de 25 ans avec mon gros side-car vide, puis sur deux trikes, j’ai fini par réaliser que je faisais fausse route. Je suis très long à la comprenette et le temps passe beaucoup trop vite ! Voilà environ deux ans que je suis parti en retraite lorsque j’écris ce texte, mais pour moi c’était hier !
  Après le side-car, j’ai continué à rouler sur 3 roues car elles me sont nécessaires et indispensables d’un point de vue physique, par souci d’équilibre, mais j’ai changé leur positionnement par deux fois. J’ai d’abord roulé sur un trike avec deux roues à l’avant (CAN-AM Spyder RS) mais le V-twin ROTAX 1000 me revenait trop cher en révisions (environ 500,00 € tous les 5.000 kms) et je ne pouvais pas les faire moi-même car elles nécessitent l’usage d’un logiciel spécifique d’ordinateur. J’ai donc fini par échanger ce CAN-AM contre un trike de construction française, un vieux MÉGAPHONE qui avait très peu roulé, trike avec deux roues à l’arrière et mû par un moteur de RENAULT Megane 1600 à injection.
  Les moteurs alimentés par injection sont dépourvus de carburateur, l’essence étant envoyée directement dans les cylindres par des injecteurs. Ils sont aussi dépourvus de starter et c’est un calculateur qui se charge d'injecter la quantité exacte de carburant nécessaire au démarrage, ce qui fait que je ne pouvais pas bricoler une commande manuelle de starter par câble.
  Malgré le manque de place pour transporter, sur ce dernier trike, tout mon matériel de camping lors des week-ends, je l’ai conservé et j’ai voulu m’en servir tous les jours pour me rendre au travail, distant de chez moi d’un bon kilomètre à vol d’oiseau. C’est court, mais à pieds ça me faisait transpirer. De plus, j’ai quelques difficultés pour marcher depuis l’accident et je marche très lentement. Je m’en rends compte chaque jour car je marche durant une heure chaque matin, quel que soit le temps, excepté le verglas, et je me fais souvent dépasser par d’autres marcheurs, souvent plus âgé(e)s que moi, marcheurs des deux sexes, alors que j’ai l’impression d’être à fond ! Bref, pour en revenir à l’usage quotidien du trike, le problème est que c’était l’hiver, ce qui faisait que le starter automatique était en fonction durant toute la durée du parcours, à l’aller comme au retour, quatre fois par jour, ce qui me faisait consommer plus de 20 litres aux cents.
  Comme j’ai toujours trouvé inopportune la présence de trikes lors de rassemblement side-cars familiaux (R.S.C.F), comme je me suis vraiment désolé, comme beaucoup d’autres, de voir que ces rassemblements de side-cars étaient finalement devenus des R.S.C.F.N au fil du temps, à cause d’une poignée de side-caristes fachos dont je vous tairai les noms et comme je n’aime pas trop rouler sans but, je n’avais finalement plus de raisons de voyager sur trois roues et mon trike a fini par passer ses jours et ses nuits au garage.
  Je me souviens qu’une fois, mon épouse, Christiane, m’a suggéré de rouler sur un quad. J’ai juste regretté de ne pas y avoir pensé moi-même auparavant et je me suis mis à étudier la question en cherchant quel modèle pourrait le mieux me convenir.
  Je sais bien que les afficionados du quad revendiquent que le quad c’est uniquement pour le tout-terrain, mais c’est un des rares engins de genre moto que je peux piloter sur route sans problème d’équilibre et je leur demande de me comprendre !
  J’arrive dans le monde du quad au moment où la législation évolue. La grosse majorité des quads est prévue pour le tout-terrain, avec des pneus idoines, à crampons et sans différentiel. Le problème est que celui-ci est obligatoire depuis le 1er Janvier 2017, afin de protéger le macadam des routes, ce qui navre les adeptes du quad tout-terrain.
  La raison est que lorsque un véhicule à quatre roues, sans différentiel, prend un virage, vu que les roues côté extérieur ont plus de chemin à faire que les roues côté intérieur, cela fait patiner ces dernières sur la route ou bien cabrer le véhicule suivant l’adhérence, un vrai casse-gueule, mais ça fait le charme du tout-terrain car les deux roues tournent en permanence. En tout-terrain il arrive souvent qu’une des roues motrices ne touche pas le sol. Avec un différentiel, toute la puissance serait alors envoyée sur la roué levée et rien ne serait envoyé à la roue qui touche le sol, donc impossibilité d’avancer. Si vous voulez approfondir le sujet, vous tapez “rôle du différentiel mécanique” sur votre moteur de recherche.
  Les quads possédant un différentiel débrayable sont MASH, HUNTER, T.G.B, SPY, SUZUKI et POLARIS. Ils sont tous dédiés au tout-terrain sauf le MASH, qui l’est à la route.
  Les marques de quads, route ou tout-terrain, disponibles en France sont très nombreuses, soit par ordre alphabétique : ADLY, ARCTIC-CAT, CAN-AM, CECTEK, CFMOTO, DINLI, ETON, G.G, GOES, HUNTER, HYTRACK, JINLING, KAWASAKI, KYMCO, LINHAI, LONCIN, MASAI, MASH, PGO, POLARIS, QUADGG et SPY. Cette dernière marque est l’abréviation de “Spyder” (spider signifiant araignée en anglais), ex. VIPER et ZONGSHEN. Un modèle est même vendu de couleur rouge avec une toile d’araignée blanche peinte par dessus. En anglais, SPY (traduction : espion) se prononce Spaï et non “Spi”, comme la voile avant creuse et légère des voiliers. Pour terminer l’énumération des marques vous avez encore SUZUKI, SYM, TGB, TRITON et YAMAHA. Il faut savoir que HONDA, bien que étant considéré comme le plus gros fabricant de quads, n’est pas dans la liste bien qu’il fabrique pourtant 6 modèles, du 250 au 680. Mais, si on les trouve aux U.S.A, aucun, homologué ou pas, n’est disponible en France depuis 2012, par manque d’intérêt d’après un journaliste moto.
  Pour des raisons purement esthétiques, ma préférence a d’abord été pour le MASH (anciennement CECTEK) Quadrift, qui ressemble à une JEEP, à 7.500,00 € ainsi que pour le QuadGG (moteur B.M.W flat-twin et grands coffres latéraux entre les roues) à 39.000 €, cinq fois plus cher donc, puis pour le YAMAHA 700 Raptor Superquader à environ 10.000 €, le SPY 350 F1, fabriqué à TAÏWAN, qui est vendu moins de 3.500 € (qui dit mieux ?) et enfin pour le SUZUKI Kingquad et l’ARCTIC-CAT 1000. Le MASH, le SPY et le SUZUKI Kingquad sont mûs par des monocylindres différents de 500 et 750 cm3 ou un bicylindre en V de 1000 cm3 KYMCO (Made in TAÏWAN).
  Le moteur V-twin, genre ROTAX, fait gagner en largeur par rapport à un 2 cylindres en ligne. Beaucoup de moteurs V-twin, asiatiques ou pas, se ressemblent alors qu’ils sont forts différents. Aucun ne possède un alésage/course identique, ce qui fait que les vilebrequins et pistons sont forcément différents (alésage/course: ROTAX 97/68, CFMOTO 61,5/74, TGB 92/75, ARCTIC-CAT 92/71,6, CAN-AM 91/75, YAMAHA Raptor 80/66,2...). La transmission de l’ARCTIC-CAT se fait uniquement par cardans, une sortie devant le moteur pour les roues avant et une autre à l’arrière transmettent le mouvement aux roues arrière. Seul le différentiel avant peut être bloqué.
  La marque LONCIN, citée plus haut par deux fois, est sous-traitante pour bon nombre de marques de motos, dont B.M.W (excusez du peu) et HONDA pour les Hornet, et vu que les quatre principaux constructeurs japonais ont revendu les licences de certains de leurs vieux modèles de moteurs, il ne faut pas s’étonner de ressemblances entre certains moteurs de marques asiatiques différentes, marques moins connues que le groupe des quatre marques principales: HONDA, SUZUKI, YAMAHA et KAWASAKI.
  La plupart des marques de quad citées quatre paragraphes plus hauts fabrique essentiellement des quads tout-terrain avec des pneus idoines. Le MASH, le YAMAHA 700 Raptor ainsi que le SPY font exception à la règle avec un châssis surbaissé (par kit de rabaissement pour le Raptor), des pneus routiers et une sélection des vitesses par sélecteur au pied (sauf pour le MASH) et des pneus routiers.
  Il est difficile de rouler vite de nos jours avec tous ces radars, fixes ou embarqués, qui nous polluent les routes. De plus, on entend çà et là d’une future limitation de la vitesse sur autoroute et de la passer à 90 km/h. Comme on y arrivera forcément un jour ou l’autre, autant prendre les devants. De toute façon il est déjà interdit de prendre l’autoroute en quad parce qu’à l’époque où a été prise cette décision, il n’y avait que des quads tout-terrain, et comme ces véhicules spécifiques n’ont pas de différentiel, il sont dangereux sur le bitume où un simple coup de guidon peut entraîner des tonneaux et ils abîment le macadam ! Rouler moins vite implique obligatoirement de passer plus de temps sur la route, mais lorsque tu aimes rouler, ce n’est pas un problème, à la limite, c’est même mieux. D’autre part, je suis dorénavant en retraite et j’ai donc tout mon temps. C’est un tout nouvel état d’esprit à avoir, mais ce n’est pas la mer à boire !
  J’avais d’abord pensé équiper route un quad POLARIS qui me plaisait bien, mais son prix et sa consommation m’ont fait y renoncer. Le POLARIS consomme environ 12 litres aux cent et coûte la bagatelle de plus de 15.000 €. J’ai lu la consommation des quads sur le Net et on arrive allègrement à 15 litres aux cents. Mais c’est en tous-terrains où on est souvent à fond en vitesse courte, sans faire de longues distances et il est normal, là, de consommer plus.
  J’ai eu ensuite un penchant pour le quad YAMAHA Superquader 700 et il aurait été mon premier véhicule japonais détenu, mais comme il ne possède pas de différentiel, il n’est plus importé depuis le 1er Janvier 2017.
  Ceux qui me connaissent peuvent sauter ce paragraphe, car je dois avouer à celles et ceux qui ne me connaissent encore pas, que je n’ai jamais aimé les motos japonaises et que je n’en ai jamais possédé, même fort peu essayées en 46 ans de pratique parce que, lorsque je me suis intéressé à la moto au début des années 70, j’ai trouvé que le Japon faisait preuve d’hégémonie.
  Pas de problème avec le SUZUKI Kingquad car il est fabriqué depuis 2001 aux U.S.A, plus précisément à ROME, au nord-ouest de la Géorgie, à 800 kms de la côte baignée par l’Atlantique, entre NASHVILLE, où sont fabriquées les HARLEY, et ATLANTA. Une autre usine en fabrique également, à TIMMONSVILLE, sur la même parallèle, à moins de cent kilomètres de la même côte. Je n’ai jamais aimé les motos japonaises mais le paradoxe est que je suis un des très rares motards français ayant mis les pieds une fois au Japon !
  J’ai vu des vidéos à propos de la construction des SUZUKI Kingquads aux U.S.A et ça démarre avec la découpe des différents tubes formant le châssis, leur assemblage par soudage et le traitement de surface avant peinture. Pour le voir, je vous conseille de regarder : ConstructionKingquad.
  J’avais toutefois eu ce penchant pour le quad YAMAHA parce que la boîte de vitesses se manœuvrait avec le pied gauche alors que sur les autres quads vous choisissez vitesse lente, vitesse rapide, point mort et marche arrière avec un levier manuel, comme sur une auto (matique) ce qui me plaisait moins.
  Les sociétés importatrices ont parfois amélioré les moteurs ou les carrosseries des véhicules qu’elles importent, telle la SIMA pour le quad MASH, mais toutes les pièces sont fabriquées en Chine ou à Taïwan, où les ouvriers sont moins payés, mais où le coût de la vie est peut-être également moins cher, et l’assemblage des véhicules y est également réalisé.
  YAMAHA hors-jeu à cause du différentiel devenu obligatoire, il me restait KAWASAKI et son Brute Force 750, mais son moteur bicylindre à injection ne m’a pas inspiré. Je me suis donc finalement tourné vers ARCTIC-CAT (qui signifie chat du pôle nord en français *) qui commercialise un quad, appelé Alterra TRV 1000, avec un moteur bicylindre en V, identique aux modèles montés sur pas mal de quads asiatiques, mais les moteurs de l’ARCTIC-CAT sont assemblés à Thief River Falls, près de Saint-CLOUD, pas en région parisienne, mais dans l’état du Minnesota, (état frontalier avec le Canada, au centre des U.S.A) et la marque ARCTIC-CAT est américaine.
  *: le chat arctique est un chat roux ramené là-bas (pôle nord) par les russes. Afin de “ne pas déranger l’équilibre écologique” dans la région, les chats sont strictement interdits sur l’île de Svalbard, mais comme Kesha est un renard polaire sur le papier et vit dans un village russe, il est libre d’y rester. Tout le monde a besoin de chats, même sur Svalbard.
  Durant la journée, le chat arctique aime surveiller son territoire et regarder les gens aller et venir. Il est très affectueux et il est aimé par les gens du coin qui font souvent la queue pour le caresser et lui ramener des friandises.
  Moi qui ai toujours aimé les chats et qui a porté ce surnom lorsque je gardais les buts d’une équipe de football à PLESSÉ (44) tant j’étais souple à 18 ans (oui, je sais, on ne peut pas être et avoir été), je me réjouis d'acheter un véhicule se dénommant ainsi !
  Mais ne vous méprenez pas, le chat de ARTIC CAT n’est pas un toutou à sa mémère, il tient plutôt du tigre comme le montrent son sigle ainsi que ses logos:

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  J’ai vu des videos sur lesquelles on peut voir le quad démarrer en wheeling, telles que: https://www.youtube.com/watch?v=EkLZtdV79UU.
  ARCTIC-CAT est un constructeur majeur sur les marchés du quad et de la motoneige. Depuis 1962, la société n’a cessé de fournir des produits fiables, performants et toujours sur le devant de la scène afin de combler les attentes de ses clients toujours plus demandeurs de produits de haute qualité. ARCTIC-CAT Inc distribue aujourd’hui ses produits au travers d’un réseau de plus de 1 500 concessionnaires dans plus de 30 pays.
  ARCTIC-CAT GmbH, avec son siège social basé à St Johann Im Pongau en Autriche, est la filiale européenne d’ARCTIC-CAT et emploie plus de 40 personnes. Son rôle consiste à assembler, vendre et supporter toute la distribution des produits ARCTIC-CAT pour 24 pays européens, avec 97% de ses ventes se faisant à l’export. Dans le cadre de son développement européen, ARCTIC-CAT a également pris la décision début 2006 de mettre en place des filiales sur les cinq plus gros marchés européens que sont l’Allemagne, l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Espagne. Le rôle de ces filiales est d’être au plus proche des réseaux de distribution et des clients de manière à apporter une réponse très efficace aux besoins de chaque marché. ARCTIC-CAT GmbH, quant à elle, s’assure de fournir des produits répondant aux normes européennes en vigueur tout en respectant un cahier des charges très soucieux de la qualité. Pour cette raison, depuis 2003, ARCTIC-CAT GmbH a mis en place un système de contrôle de la qualité et est certifié ISO 9001 : 2000/12. Dans le futur proche: ARCTIC-CAT sera responsable pour le marché africain.
Depuis le 25 Avril 2017, ARCTIC-CAT a été racheté par la société TEXTRON avec les autres marques suivantes qui sont toutes devenues des filiales: E-Z-GO®, Cushman®, Jacobsen®, Dixie Chopper®, Ransomes®, TUG™, Douglas™, Premier™ et Safeaero™.

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L’ARTIC-CAT 1000 dont je rêve, à l’exception des pneus, équipé et peint comme j'aime !

  Comme le dit le site Le Quadeur Français, ARCTIC-CAT n'est pas la marque de quads la plus connue en France. Pourtant c'est l'un des 4 plus puissants fabricants mondiaux de moto neiges et de quads. Bien que possédant une belle gamme de quads, sa distribution en France fut mal structurée et confidentielle.
  Au début des années 2000, les quads ARCTIC-CAT étaient distribués en France sous la marque MASSEY FERGUSON.
  En 2007, après avoir été distribué sur l'hexagone par une multitude d'importateurs, ARCTIC-CAT France fait son apparition et reprend les commandes de son réseau afin de redresser la barre. En 2015, ARCTIC-CAT arrive à la 7ème place des meilleurs ventes de quads sur le marché français (avec un peu plus de 620 immatriculations en moins d'un an). En 2016, ARCTIC-CAT se maintient en ayant la 8ème place. L’importateur ARCTIC-CAT pour notre pays, soit ARCTIC-CAT France, est situé 1434 Rue Aristide Bergès Z.I Centr’Alp 38430 MOIRANS, à une quarantaine de kilomètres, à vol d’oiseau, de La RAVOIRE où étaient construites les B.F.G, étonnant, non ? Le gérant de l’EURL est Markus FERCH.

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 L’ARCTIC-CAT 700


  QUAD-NATURE a écrit : L’histoire d’ARCTIC-CAT se résume ainsi : David JOHNSON, Edgar et Allan HETTEEN étaient partenaires dans la compagnie Hetteen Hoist and Derrick Shop de Roseau au Minnesota qui devint POLARIS et qui fut la première à produire une motoneige en série.
  Edgar HETTEEN quitte la compagnie en juin 1960 pour fonder Polar Manufacturing à Thief River Falls qui devient plus tard Arctic Enterprises. Cette dernière commence à produire des motoneiges, la Arctic-Cat, la même année. La compagnie achète ensuite des manufacturiers de hors-bords comme Spirit Marine, Silver Line, Larson et Lund pour se diversifier. Spirit Marine produit la première motomarine en 1978.
  Après un hiver très doux en 1980, la surproduction de motoneiges force l'entreprise à diminuer ses opérations et à fermer ses filiales marines. Arctic Enterprises fait banqueroute en 1981 et ferme en 1982. En 1984, une nouvelle compagnie, formée des ex-employés de Arctic Enterprises, rachète les équipements et la ligne de motoneiges Arctic-Cat pour former la compagnie Arctco. Cette dernière est renommée ARCTIC-CAT en 1996. En 2003, la vente des Quads surpasse celle des motoneiges à cause des conditions météorologiques douces depuis plusieurs années.

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 L’ARCTIC-CAT 1000

  Un des avantages de l’ARCTIC-CAT est que le phare central au niveau du guidon, présent sur la majorité des quads taïwanais a disparu, ce qui permet de charger davantage le porte-bagages avant et que les repose-pieds passager sont à une hauteur plus élevée que ceux du pilote (chacun chez soi !).
  Venons-en aux prix. Le 1000 vaut 13.890,00 €, plus de 4.000 € de moins que le quad CAN-AM, le 550 est à 11.290,00 €, le 700 diesel est à 11.350 €, le 700 essence à 10.690,00 €, le 450 à 6.490,00 €, le 400 à 5.590,00 € mais vous pouvez peut-être trouver des occasions en 300, 350, 425 et 550 cm3 qui ne sont plus fabriqués.

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  Voilà tout ce que je pouvais vous dire aujourd’hui à propos de ce quad ARCTIC-CAT. Je vais voir si je peux m’en faire prêter un pour vous en dire plus... à très bientôt j’espère.